Coup de coeur : The Whitest Boy Alive

The Whitest Boy AliveCette année, à Dour, le soleil n’est définitivement pas de la partie. Normal, dans un sens, qu’on trouve à l’affiche du festival hennuyer le garçon le plus blanc du monde. Ce Whitest Boy Alive, c’est le dansant projet parallèle d’Erlend Oye, binoclard à la voix douce et fragile de Kings of Convenience.

Car le folkeux Norvégien ne s’invite pas sur les dancefloors que quand il chante pour Royksopp (« Poor Leno », « Remind me »). Basé à Berlin, il a appris comment faire remuer les fesses en finesse et l’Eastpak Core Stage se laisse charmer. Prête à s’enflammer. Les mélodies et la fraîcheur d’Erlend se mettent même au service du « Show me love » de Robin S. « Vous voulez l’indépendance, le rattachement à la France ou que la Belgique survive ?, » fait-il voter à voix levée. Les séparatistes seraient déçus…
(J.B.)


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