Syd Matters, Syd barré

Pas toujours facile sur scène, à Dour, d’imposer le respect. A fortiori quand on mise sur une musique plutôt intimiste. Si le voisin fait du bruit, faut déjà en imposer. Puis, le public, forcément, est parfois un peu dissipé. Ce n’est pas Alison Goldfrapp, grosse déception de jeudi, qui nous contredirait. On avait donc un peu peur pour Syd Matters.

Crainte vite dissipée par le groupe de Jonathan Morali. Car, oui, on peut parler de groupe aujoud’hui. Ca se sentait il y a quelques mois lorsqu’il assuraient la promo de « Ghost Days ». Ca se perçoit sur scène avec un final presque apocalyptique. Syd Matters est plus qu’un singer/songwriter… (J.B.)


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