Flying Lotus en interview audio

Dour ne demande qu’à danser et Steven Ellison, roi du laptop, a plus d’un beat dans son sac. Le Flying Lotus refuse de s’inventer la guerre des gangs. Il fait dans le abstract hip-hop. Un style aux préoccupations fort différentes du rap habituel, éloigné de la politique, de la criminalité.

Certaines comparent son apparition au milieu des années 90 à celle du rock progressif à la fin des années 60. Pourquoi pas. Mais en moins chiant…  A la fois intello et dansant, déconstruit et planant, le neveu de feu Alice Coltrane (qui trouve toujours quelques nouvelles idées avant de monter sur scène) chauffe le Club Circuit Marquee en plein après-midi. On devrait le revoir un de ces quatre bien plus haut dans l’affiche. (J.B.)


commenter par facebook

répondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *