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Lily Allen, mise en bouche idéale et sexy

par le 2 juillet 2009

Ses compos sont pas toujours au top, mais rien à faire, la petite Lily, graine d’arsouille, emballe.

Les photos

Nom. Lily Rose Beatrice Allen.

Naissance. A Londres, 2 mai 1985.

Antécédents. Elle a bluffé tout son monde en 2006 avec la sortie de son premier album Alright, still. La nièce de Joe Strummer est toujours aussi impertinente et s’en prend notamment aux éjaculateurs précoces sur It’s not me, it’s you (2009).

A charge : Bon, on ne va pas ergoter 107 ans. Certaines compositions ne cassent pas trois pattes à un canard. Ses musiciens (volontairement effacés) n’ont aucun look et certains jouent même en short. La météo s’y prête mais n’empêche, ça contraste avec la gouaille et le culot de Lily.

A décharge : Graine d’arsouille, Lily Allen a un charme inné et naturel. Perruque noire, lèvres rouges sang, bikini léopard, pantalon noir (qu’elle retirera en milieu de set pour se transformer en choriste de Kid Créole ) et chaussures noires à haut talons, la miss a de l’allure. Et aussi de l’aplomb. Elle descend dans le public, effleure quelques mains, cherche le contact. Son joli brin de voix tient la route. Et certains morceaux, comme son prochain single, le très Madness « 22 », sont séduisants à souhait. Lily n’a pas sa langue en poche et prône une certaine tolérance. Sexuelle, raciale, idéologique et politique. Dans la foulée, elle invite le public à lever le doigt en l’air (l’index, pour être précis) et entame l’enlevé « Fuck you ».

Verdict : Sa frimousse, sa voix et sa verve supplantent les carences musicales. Une mise en bouche idéale et sexy monsieur le juge.

(Ph.Mn).

En concert à la Lotto Arena (Anvers), le 23 octobre 2009

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2 Comments

  1. Brieuc

    3 juillet 2009 à 13 h 28 min

    “Certaines compositions ne cassent pas trois pattes à un canard.” Mais c’est quoi ces phrases toutes faites à 2 ablles? Vous êtes payé pour faire ca? Sérieusement…

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  2. Fanouf

    3 juillet 2009 à 17 h 45 min

    Le short contraste(rait) – donc – avec “la gouaille et le culot”… ?

    Dont acte ! ;-)))

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