Pourquoi les White Lies nous les brisent

On ne va pas se faire des ami(e)s sur ce coup là mais tant pis. La jeune formation cold wave anglaise n’a pas inventé la poudre. En soi, ce n’est pas grave mais à défaut de l’inventer, ils pourraient au mieux la faire parler. A la place, le groupe de Harry McVeigh s’enlise derrière des mélodies qu’on n’avait plus entendues depuis le « Vienna » d’Ultravox. En même temps, il faut reconnaître que les gamins prennent autant plaisir à jouer que le public à les regarder et ça donne des images plutôt sympatoches mais dans le genre, Interpol ou même The Editors restent en tête du peloton de ce revival cold wave. (Ph.Mn.)

Allez, comme on est sympa, on vous file quand même la liste des morceaux joués entre 14h15 et 15h15 ce vendredi :

A place to hide
To lose my life
Taxidermy
Farewell to the fairground White Lies
From the stars
E.S.T.
Unfinished business
Fifty on our foreheads
Price of love
The rip
Death


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3 Comments

  1. so'

    9 juillet 2009 à 14 h 52 min

    s’il est clair qu’ils n’ont rien inventé, il n’en reste pas moins que leur dernier album est bien meilleur que le dernier Editors qui s’enlise dans da la pop a la coldplay.

  2. Bou

    9 juillet 2009 à 16 h 52 min

    Assez pathétique comme critique… désolé, mais c’est un des meilleurs albums sorti cette année. Il n’y a qu’à écouter “Death” et “To lose my life” pour s’en convaincre!
    Enfin, c’est peut-être toi aussi qui a écrit le compte rendu de Metallica, alors, je comprend mieux…

  3. fra

    11 juillet 2009 à 12 h 35 min

    j’ai decouvert l’album recement, et j’etais impatient de les voir.Le concert a recompense mon impatience et j’ai pris les places pour le concert a l’AB au mois d’octobre.La critique me parait severe pour un groupe sincere…………

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