Sérieux, 24 heures à peu de choses près après Lady Gaga, la diva Jamaïcaine Grace Jones était au Marquee. On mord sur sa chique en poireautant presque trois quart d’heure avant l’heure annoncée et un “Nightclubing” moite à souhait. C’est la seule artiste à monter sur scène en retard, pas cool tout ça. Mais comme à l’Ancienne Belgique il y a quelques mois, la panthère a misé sur un best of (“Jamaican guy”, “La vie en rose”,…) sur papier imparable. Sous le Marquee, le concert a été vécu différemment en fonction de ce que rappelle les chansons mais le groupe (ce n’était pas Sly & Robbie) la joue roots. Parfois géniale, parfois moins percutante, Grace Jones a fait son office. Amen. (Ph.Mn.)
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Jérôme
5 juillet 2009 à 1 h 03 min
le style, le charisme, la “marque” de la magnifique Grace Jones vaut bien une grosse demi-heure de retard, rien de dramatique à cela.
Je l’ai vu en concert à l’AB ( sold out en cinq jours ) en mars dernier et ce n’est pas, là aussi une bonne demi-heure de retard, qui a gâché un show phénoménal pour cette diva qui fait un come back des plus appréciés en Grande-Bretagne et ailleurs!
faraeff
6 juillet 2009 à 12 h 53 min
Excentrique, extravagante, sculpturale et innimitable Grace Jones: j’ai adoré son concert à Werchter. Les deux moments culminants: sa prestation avec le hula hop (trop fort) et les gens montés sur scène. C’était top !