Lady Linn, Lady soul

Le rock de Hickey Underworld, le rap de Jeugd van tegenwoordig. Ce sont les néerlandophones qui squattent le Marquee dimanche en début d’après-midi. Sur le coup de 16 heures, la tente est remplie. Et il ne pleut pas encore…

Faut dire que jusqu’ici, la rétro Lady Linn et ses Magnificent Seven ont surtout fait parler d’eux au nord du pays. Les gens la comparent souvent à Amy Winehouse. Mais la native de Sint Amandsberg est plus propre, plus pop, plus sage, plus fade que la diva destroy de la soul. Si elle n’arrive pas à la cheville d’une Nicole Willis ou d’une Sharon Jones, elle a vendu plus de 20.000 copies de son album : Here We Go Again. Et sa reprise d’Eddy Grant, I Don’t wanna dance, est en Flandres l’un des tubes de l’année. Nous serons partis avant même de l’avoir entendu. Perplexes.

J.B.


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