Certains trouveront toujours que Jack White n’est l’homme que d’un seul titre (« Seventh nation army ») et donc complètement surfait par des branchés en mal d’idole. D’autres, par contre, suivent à la trace le passionnant parcours d’un musicien hors norme, hors format, se remettant sans cesse en question, en multipliant les projets guidés par le fil rouge du blues.
Cette fois, délaissant un moment White Stripes et Raconteurs, l’ami Jack a formé Dead Weather avec Alison Mosshart des Kills, Dean Fertita, guitariste des Queens of The Stone Age et Little Jack Lawrence, le bassiste des Raconteurs.
Tout ça pour enregistrer, en quelques jours d’octobre 2008 et février 2009, dans son studio de Nashville, l’album Horehound. Alison est la chanteuse du groupe dont Jack, pour l’essentiel, n’est que le batteur. Pour les compos, tout le monde s’y est mis, ensemble ou deux par deux, White et Mosshart signant chacun une chanson seul.
Le résultat est un blues-rock très seventies, inspiré – ce qui n’est guère étonnant quand on connaît bien le White Stripe – par Led Zeppelin. Les parties de guitare, par Fertita, ressortent d’un disque inspiré par l’urgence et la spontanéité analogique.
Sony Music.
THIERRY COLJON
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jmvdh
29 juillet 2009 à 19 h 07 min
L’album est proposé en écoute complète sur le site officiel du groupe.
http://www.thedeadweather.com/media.html
David
3 août 2009 à 10 h 32 min
Jack White .. l’homme d’un seul titre ? comment peut-on ne serait-ce que formuler ça quand on connait son parcours, et surtout, quand on connait son talent et qu’on a pu le contempler en live.
C’est finit je crois que je vais définitivement enlever ce site de mes liens.
Déplorable de voir des critiques s’enchainer avec si peu de qualité.
xav
3 août 2009 à 13 h 20 min
Si tu lis bien, il est écrit “Certains trouveront toujours que Jack White n’est l’homme que d’un seul titre…”.
L’auteur ne dit pas qu’il s’agit là de son opinion. Au contraire, j’ai plutôt l’impression qu’il n’est pas d’accord avec cette affirmation.
Moi non plus d’ailleurs, même si préferais ce qu’il faisait au début des white stripes que ce qu’il a fait après ou même avec les raconteurs.
Enfin, c’est pas pour dire que Frontstage déchire grave que je dis ça hein… Mais bon, il faut voir les moyens derrière aussi?