Maxwell – Izia – Izaline Calister – Hugh Masekela – Original soundtrack « Coraline »
Maxwell « BLACKsummer’s night »
Le soulman anglais était là avant Raphael Saadiq qui tente de lui piquer son segment soul traditionnel. Déjà que Seal a dévalisé la banque à la barbe de tous. Ici, Blackwell imagine le premier volet – en neuf titres seulement – de ce qui sera une trilogie. Pas sûr néanmoins que ce bon boulot cuivré excite les foules. Sony Music. http://www.myspace.com/maxwell
Izia
La fille de Jacques Higelin et petite demi-sœur d’Arthur H publie son premier album : un rock seventies lourd et puissant, chanté en anglais, entre Led Zep et Janis Joplin. Pour une Française, c’est assez remarquable, elle a une voix et une personnalité fortes. Même si on sent qu’elle serait plus à l’aise (et originale !) en français. Universal. http://www.myspace.com/iziamusic
Izaline Calister « Speransa »
Basée en Hollande, la belle Antillaise de Curaçao aime fausser les pistes, ou plutôt, les tenter toutes, pour mêler jazz, calypso, salsa et folk. Productrice (conseillée par Jacques Ehrahrt), auteure (en papiamento, sa langue maternelle) et compositrice, Izaline se pose, avec ce cinquième album, en ambassadrice de charme et de talent d’un style propre. Rough Trade. http://www.izalinecalister.com/
Hugh Masekela « Phola »
Le vétéran trompettiste sud-africain, comme l’avait fait Miles avec Marcus Miller sur Tutu, a trouvé en Erik Paliani son partenaire de mise en son. Pas sûr que les parties de synthé apportent beaucoup à la musique de Hugh, convaincu qu’il fallait passer par là pour rendre sa musique moderne. A chacun ses choix ! Times Square Records. http://www.ritmoartists.com/Hugh/Masekela.htm
Original soundtrack « Coraline »
Là où on attendait Danny Elfman, le fidèle compositeur de Tim Burton, on a le Français Bruno Coulais, révélé par Microcosmos et Genesis. La chanson originale est de They Might Be Giant, parmi 31 petites pièces exécutées par le Symphonique de Budapest. Une partition très variée, entre voix enfantines, atmosphères inquiétantes et comptines magiques. De quoi trouver son bonheur. Koch Records.
THIERRY COLJON
Nasky
3 août 2009 à 13 h 24 min
Thierry,
Maxwell « BLACKsummer’s night » : “Le soulman anglais était là avant Raphael Saadiq qui tente de lui piquer son segment soul traditionnel” …
–> Please … RAPHAEL SAADIQ était là bien avant MAXWELL. Il fait même preuve d’une rare longévité. Ses premiers succès datent du début des années ’90 avec son groupe TONY! TONI! TONE!
moumine
9 septembre 2009 à 20 h 04 min
Maxwell « BLACKsummer’s night » : “Le soulman anglais était là avant Raphael Saadiq qui tente de lui piquer son segment soul traditionnel” …
pfff il est AMÉRICAIN! Un peu de concentration les garçons! un p’tit passage par wikipedia en cas de doute…