Health tient la forme

Quelle claque. Si My bloody Valentine possède un héritier, un vrai, dans le genre « je pousse le volume sonore à m’en faire exploser les tympans », c’est bien Health. Groupe noisy de Los Angeles dont le nouvel album, Get Color, verra le jour la semaine prochaine. Un concert d’Health, c’est une tempête. Une tornade. Un Tsunami. C’est un déluge. Un déluge de décibels, de distos, de bruit. Tremblement de terre à Kiewit. Secousse tellurique au Château… Hymne de dance noisy industriel, Die Slow fait vibrer le sol en même temps que nos neurones. Ca hurle. Ca frappe. Ca impressionne. Le grand et longiligne bassiste John Famiglietti prend de la place et assure pratiquement à lui tout seul le jeu de scène. Evidemment, Health n’est pas à mettre entre toutes les oreilles. Mais c’est franchement quelque-chose. Ca coûte cher un appareil auditif ?
J.B.


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