trois questions à

Tom Barman (dEUS)

Deux concerts en trois jours, c’est quoi l’idée ?

On nous avait demandé de jouer sur la grande scène, et nous n’allions pas tourner cette année parce que nous sommes en studio. On nous a suggéré de faire deux fois un chapiteau, et ça, ça nous permet d’essayer des nouveaux morceaux. Et d’amener des surprises que je ne dévoilerai pas.

Que peut-on savoir du futur album ?

On cherche, pour bien faire… Le public entendra trois ou quatre morceaux bien avancés ce week-end, ça en donnera un aperçu. En tout cas, nous nous dirigeons vers quelque chose d’assez soul.

dEUS est un groupe qui a un statut à assumer ; ça pèse ?

Ce serait con de le nier ! C’est normal, quand on a quatre ou cinq albums, il y a une attente, mais il faut s’en foutre, sinon on devient dingue. Alors ça aide de pouvoir de temps en temps faire quelque chose de neuf, comme avec Magnus. Il faut faire comme Damon Albarn, qui est un de mes grands héros : il arrive à se réinventer, à aller vers des projets rafraîchissants…

STIERS,DIDIER

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