Le Erlend des dancefloors

Derrière une bonne bouille de nerd, Erlend Oye cache un tempérament de schizophrène. Folk gentillet à la Simon and Garfunkel le jour (un nouveau Kings of convenience arrive dans les prochaines semaines). Pop aux accents électro disco avec Whitest Boy Alive la nuit.

C’est avec ses amis berlinois que le grand échalas norvégien faisait une halte au Pukkelpop samedi après-midi. La machine à danser démarre au quart de tour et son rendement est toujours aussi impressionnant. Tout en douceur et groove. Enregistré au Mexique, Rules fait partie des meilleurs albums de l’année. Idéal pour briser la glace et détendre une atmosphère. Le Marquee ferme les yeux et se laisse aller. Puis entre petit à petit à ébullition. Une reprise du « Show Me Love » cher à Robin S. transforme les lieux en volcan. Chaud devant.
J.B.


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1 commentaire

  1. Phil

    27 août 2009 à 16 h 49 min

    Le feel good concert absolu, Erlend, tu as vraiment la top classe.

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