Seal, la star soul, en apothéose

SealIl n’y avait finalement qu’une seule vraie star, cette année à Couleur Café, la seule à même, par exemple, de remplir Forest-National. Et c’était lui: Seal.
Chaussures blanches, lunettes noires, il en jette tout de suite. Après un quart d’heure de chansons qu’il aurait finalement mieux fait de ne pas écrire, il tombe enfin la veste et balance son fameux “Killer” et le “It’s a man’s man’s man’s world” de James Brown. Seal est non seulement une bête de scène mais sympa en plus quand il s’essaie au français. Dommage seulement qu’il tienne à nous chanter ses chansons récentes qui ne tiennent pas vraiment l’ambiance face aux monstres soul que sont “I can’t stand the rain” (Tina) ou “Knock on wood” (Eddie Floyd). “Kiss from a rose” et “Crazy” au final, viendront combler les nombreuses admiratrices qui le trouvent, à raison, hyper sexy. T.C.

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