Metronomy : « La vraie boue, c’est à Glastonbury »

A l’heure où les Japonais de Boris donnaient leur dernier coup de gong à la Petite Maison dans la Prairie, les Britanniques de Metronomy montaient sur la scène du Marquee, tout auréolés des bonnes critiques récoltées par leur dernier album en date, The English riviera. En fin d’après-midi, nous avions tendu notre micro à deux d’entre eux…

Aux dires de Joseph Mount (chant, guitare, claviers et compos), The English riviera est un disque plus chaud, plus estival, plus live aussi que son prédécesseur. Et inspiré par la Riviera anglaise, l’endroit où le même Joseph a grandi.

Metronomy, en son temps remixeur pour Franz Ferdinand, Charlotte Gainsbourg, Sébastien Tellier et autres Gorillaz, est aussi le genre de groupe parfaitement à même de s’adapter aux conditions des gros festivals. La prestation de Mount & co ce dimanche au Marquee est ainsi plus orientée dancefloor qu’accompagnement musical pour sieste prolongée. Le son de la basse bien métallique rappelle ici aussi un petit quelque chose des années 80.

Quant à la loupiotte qu’ils arborent tous sur leur costume de scène, à droite côté cœur… j’ai carrément oublié de leur demander ce qu’il fallait y voir comme symbole. Même si j’ai bien une petite idée… Toujours est-il que Joseph nous a donc parlé « tournée », « festival » et « Riviera anglaise », juste avant le concert du soir, en compagnie du bassiste Gbenga Adelekan, un garçon doté d’une voix très impressionnante…

Didier Stiers

1 – La Riviera anglaise et l’inspiration
2 – En festival et dans la boue
3 – Le plaisir de jouer en festival
4 – La vie en tournée


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1 commentaire

  1. seb

    19 juillet 2011 à 14 h 35 min

    Il faut m’expliquer ce que les gens aiment dans ce groupe, je ne comprends pas.

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