La Semo, dont débute ce soir la cinquième édition, se définit comme un festival musical durable. Musical, et durable.
De la musique, avouons-le, on n’en a pas encore entendu beaucoup. Le temps de déplier sa tente sous la pluie (elle a duré un quart d’heure, pile au mauvais moment) et d’arriver sur le site, Barcella terminait son show sur la grande scène. On a surtout entendu qu’il conseillait au public de soupirer “salope” lors des moments difficiles. Il y avait sans doute un contexte. Gilles et ça dépend enchaînait, au “Cabaret”, mais on a préféré faire le tour du village associatif.
Car le durable, à La Semo, ne signifie pas chiant, ou moralisateur. Le “Recycling Palace” est une étrange pêche aux canards où, pour le coup, il ne faut pas pêcher les canards mais les déchets (gratuitement). Et où on reçoit un cadeau quand on a attrapé… 5 PMC! Plus loin, un vélo permet d’activer une pompe à eau… tandis que des demoiselles se baladent pour mesurer l’empreinte carbone des festivaliers et les conscientiser. On est venu en voiture, on va les chercher pour se faire pardonner.
Là-dessus, les Têtes Raides vont commencer. On revient ensuite pour vous parler du volet musical, donc.
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manueldp
7 juillet 2012 à 1 h 40 min
Donc “Musical&durable” = bourgeois-manouches débraillés à guitares? Pouark…
simon
7 juillet 2012 à 16 h 36 min
salut la photo qui illustre l’article “culture” “la Semo commence ce soir”, est celle de mon fils, le patit blon sur mes epaules ( photos 2011). est il possible d’avoir un double de ces photos il y en a 2 normalement. agence belga je suppose.
merci beaucoup