Pump it, baby !

Les citernes et les pompes se succèdent autour du Dance Hall, manifestement le coin de la plaine qui souffre le plus de l’eau, de la boue et du passage incessant des festivaliers.

En début de journée, l’accès au chapiteau avait même été barré, et les groupes devant s’y produire un peu postposés, le temps de faire procéder au pompage de l’eau stagnant dans ce secteur du site. Peu de spécialistes du plancher flottant devaient compter parmi les festivaliers, mais s’il y en avait, ils auront dû en voir un bel exemple, sous ce Dance Hall : lattes disjointes, devenues miraculeusement élastiques et jets d’eau y ont agrémenté le passage du public.

Hommage aux valeureux pompeurs

Quelques chiffres ? Ces deux-ci en tout cas : 7 tonnes de foin ont été réparties sur l’ensemble du site pour l’éponger autant que possible, et 50.000 litres d’eau ont été évacués de ce même Dance Hall.

D.S.

 

Didier Stiers

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