Turner Cody, Last of the big time spenders

***  Last of the Big Time Spenders (Turner Cody)
Il peut bien appeler Dylan “daddy”, il y a aussi un peu de Leonard Cohen dans ses chansons douces (“Is this all there is”). Le prolifique New-Yorkais à l'écriture recherchée ne se contente pas de picking sur une guitare acoustique : le minimalisme mélancolique qui lui sied si bien se mêle ici aux orchestrations délicatement plus étoffées (“Better days”, joliment uplifting).

Didier Stiers

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