Les news inutiles #48: la musique du Diable

En tournée avec les Arctic Monkeys, les jeunes The Orwells se sont laissés aller à quelques dures paroles envers leurs aînés (avant de s’excuser, parce que, bon, tout de même, c’était pas gentil de dire ça…). Mais qu’ont-ils dit de si… de si… ‘fin, pour s’excuser! De si… Et bien selon eux, les Monkeys font le même set tous les soirs, un set « synchronisé », qu’ils ont lâché. Ah oui, ils se permettent. Comme ça. Plus aucun respect! Mais Alex Turner n’est pas du genre à se laisser démonter et a répondu à ces vives critiques avec la posture qui est la sienne: « Plutôt que de nous regarder jouer tous les soirs, ils auraient dû sortir et essayer de tirer un coup ». Pas faux…

Les quatre filles de Savages ont sorti un nouvel EP pour le Record Store Day. Et voici la vidéo du bien nommé « Fuckers », soit dix minutes de tension punk filmées en concert et en HD comme au cinéma. Impeccable.

Nous qui pensions que Courtney Love allait mieux. Elle avait trouvé l’avion disparu de la Malaysia Airlines, s’était rabibochée avec Dave Grohl… Mais en fait, non. Toutes ces commémorations, les 20 ans, ça lui met un sacré coup dans la tronche… Vous savez, la folle rumeur d’une note retrouvée dans le portefeuille de Kurt Cobain par la police et qui disait, en substance: « Acceptes-tu de prendre, Kurt Cobain, Courtney Love pour épouse alors que c’est une salope pleine de pus qui te siphonne tout ton pognon pour de la dope et pour faire la pute… ». Et bien, . Et bien, c’est Courtney qui l’a écrite, cette note, tout récemment. « Evidemment que c’est moi qui l’ai écrite – vous ne comprenez pas le sarcasme ou quoi? » Euh…

Kurt Cobain note written by Courtney Love

A côté de ça, il y a une trentaine de photos dont quelques unes pas mal glauques de la scène du suicide qui ont été publiées. A zyeuter ici.

Z’êtes jamais posés la question de savoir ce que devenaient les Happy Mondays? Sauf quand ils se reforment, évidemment… Les Mondays, dealers/gobeurs d’ecstasy à la fin des années 80, qui ont façonné le son Madchester et mis la Grande Bretagne la tête à l’envers pendant quatre-cinq ans. Oui, mais, comment se reconvertit-on quand on a été dans Happy Mondays? Parce que c’est ça la question! Bez a trouvé réponse. Il va faire campagne pour devenir député dans sa ville (en fait un trou à rats de la banlieue mancunienne) de Salford. Pour ceux qui ignorent, Bez n’était ni le chanteur, ni le guitariste, ni le troisième claviériste des Mondays. C’était le gars qui se bourrait d’ecstas et dansait comme un malade sur scène durant tout le concert. Un vrai poète, ce Bez!

Journaliste lesoir.be

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