Des sous pour les festivals (1)

Les Nuits du Beau Tas, qui se clôturent le 11 mai prochain, font actuellement l’objet d’un crowdfunding. Pour une bonne raison…

De l’éclectisme hors des sentiers battus. Des endroits différents. Et un thème pour lier toutes les prestations. Voilà quelques-unes des caractéristiques principales de ce festival qui n’est donc pas exactement le « off » des Nuits Botanique. Cette 5e édition s’articule autour de la voix. Ce 4 mai, le Barlok sera ainsi livré aux expérimentateurs de Babils. Le 9, les punks anglais de Conflict secoueront le M4. Et à la clôture du 11 (au Lac, récemment rouvert près du petit Château), on retrouvera notamment Mauro Pawlowski (ex-dEUS) au sein de Stahlmus Delegation, et l’intenable Didier Odieu seul au piano.

Le truc, c’est que depuis la première édition en 2014, le festival, certes soutenu (Halles St Géry, Brass, Magasin 4, le label Sub Rosa, etc) est autofinancé. Reste notamment à rémunérer décemment les artistes et parer à certains coûts (location d’un piano, ce genre de choses). D’où ce financement participatif. Somme espérée : 2.000 euros. A 6 jours du bouclage, les Nuits du Beau Tas en sont à 1.462 euros. Infos : www.leetchi.com/c/projets-de-nuit-du-beau-tas et sur la page Facebook du festival.

D.S.

 

Didier Stiers

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